par Ange_Gardienne-Serena le Jeu Avr 17, 2008 18:05
Elle l'apprendra de la bouche de quelqu'un d'autre...
Et voilà mon nouveau chapitre !
Chapitre 4 : Son héros.
Résumé : Les résumés et les génériques ne servent à rien, donc j’en mets aucun !
Auteur : C’est à nouveau Séréna qui fait la narration...
Le monstre me tenait par une jambe et me cognait la tête contre le sol...Je n’avais rien fait pourtant...Pourquoi s’en prendre à moi ? Ça n’avait aucun sens...Le M qu’il avait sur le front se mit à briller...
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Auteur : Petit rappel : A chaque fois qu’il y a plusieurs astérisques d’affilé ça veut dire que ce n’est pas la même personne qui fait la narration.
Moi, parlant par télépathie (personne qui fait la narration, là !) : Mais arrête de jouer avec elle et rapporte la moi tout de suite ! C’est un ordre !
Mon monstre : D’accord Maître...
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Je ne sais pas pourquoi, mais il me lâcha.Malheureusement, les ventouses étaient tellement collées que, lorsque la bête desserra la tentacule, ma jambe était rougeâtre (J’aime bien le rouge, mais vu sous cet angle...) et je saignais trop.Cette forte perte de sang m’affaiblissait tellement que je ne pouvais plus tenir debout...J’était perdue...Je pensais enfin à un stratagème : La formule de l’autre jour.
Moi, très essoufflée : Omug...trantei...*Juste avant que l’explosion se produise, j’utilise l’autre formule, pour me protéger du choc* Raïtasen...guldium !
Le monstre : ???
J’esquissait un léger sourire, un sourire qui partit très vite de mon visage : Cette chose n’avait aucune égratignure, et user de la magie (si on peut appeler ça de la magie !) n’avait fait que me fatiguer encore plus.Il y avait une autre formule, c’était Θεραπεία, ce qui veut dire guérison en grec, peut-être que si je la prononçait, ça pourrait me guérir, qui sait ? De toutes manières, je n’ai rien à perdre (À part la vie, bien entendu !) !
Moi : Θεραπεία ! *Mes blessures disparaissent et je suis en pleine forme* Miracle ! Et moi qui pensais qu’il fallait jeter ce livre à la poubelle !
Au palais de Dendé.
Moi (Celui qui fait la narration, pas Séréna !) : Bon sang, pourquoi tu gagnes tout le temps aux cartes, Piccolo ?
Piccolo, en face de moi : Parce que je réfléchis, moi, au moins !
Popo : Moi, je vais arroser les plantes.
Moi : C’est bizarre, mais, depuis deux minutes, je sens une force assez élevée.
Piccolo : Idem, cette force n’a pas l’air d’être bienfaisante, elle est un peu plus faible que moi...En revanche, je sens une autre force assez faible non loin de là...
Moi : Celle-là, de puissance, elle est bénéfique.Tu ferais peut-être mieux d’aller voir.
Piccolo : Bof...
Moi : Hein ? Comment ça, bof ?
Piccolo : J’ai la flemme.
Moi, je tombe à la renverse : Quoi ??? T’as la flemme ??? Tu t’es même pas entraîné aujourd’hui !
Piccolo : T’es vraiment trop naïf Dendé...Je disais ça pour voir ta réaction (Quoique...) !
Moi : Vas-y *je regarde Piccolo s’envoler* Reviens entier, hein ?
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Retour au centre commercial (Tout le monde avait foutu le camp et Séréna était là, seule, comme une abrutie...)
Moi, en train de penser : (Je ne vois aucun point faible...*j’ai une idée lumineuse* à moins que...)
Le monstre : Tu ne pourras pas te soigner éternellement !
Moi : Peut-être...Oh, c’est quoi, ça, derrière toi ?
Le monstre se tourne : De quoi ?
Moi : Par ici !
Le monstre : Mais qu’est ce...-SPLASH- AAAHHH !!! MES YEUX !
Vous me demanderez certainement comment j’ai fais pour crever trois yeux à la fois ? J’ai utilisé le pouce, l’index et le majeur, pardi !
Le monstre : Espèce de -BIP- !
Auteur : Et oui, nous censurons pour éviter que les ch’tits n’enfants qui nous lisent ne soient pas trop choqués !
Moi : Heu, Auteur !
Auteur : Oui ? Que se passe t’il ?
Moi : Pourquoi tu as mis ‘nous’, puisque l’auteur est le seul à décider ? Et puis les gosses peuvent très bien êtres dégoûtés à cause du sang.
Auteur : J’avais rien d’autre à faire, et les gamins devront s’habituer au sang, c’est la dure loi de la nature...
Moi : Et les injures aussi, ils devront s’adapter, non ?
Auteur : C’est pas la même chose !
Le monstre : Heu, j’suis toujours là, moi...
Moi : On s’en fout de toi !
Le monstre, il exagère : Snif ! Maman ! La vilaine fille m’a insulté et frappé !!! OUUUIN !!!
Moi : C’est pas vrai !
Auteur : Ca suffit ! Reprenez le combat, c’est lourd, là !
Moi et le monstre : Oui madame...
Auteur : QUOI ???
Le monstre et moi : Heu, on voulait dire « ♫♥♪Oui Mademoiselle.♪♥♫ »
Auteur : Voilà ! C’est mieux ! Encore vingt secondes et je pétais une durite.
Je disais donc que je lui ai crevé les yeux.C’était dégueulasse ! J’avais des morceaux de globes oculaires sur les doigts ! Bien que ce truc ne pouvait plus me voir, il avait l’air de savoir où j’étais à n’importe quel moment, incroyable. Pendant un moment, j’avais un sentiment d’admiration, accompagné par de la peur : c’est normal, je ne suis pas habituée à ce que quelqu’un puisse me voir sans me voir. Vous avez compris ce que je veux dire ? Moi ? Pas vraiment en tout cas !
Le monstre : Je vais t’étriper !*Il commença à courir après moi *
Moi, le monstre à mes trousses : MAMAN AU SECOURS !!!
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J’était en train de me diriger vers les deux puissances.La plus faible me rappelait quelqu’un, mais qui ? Peu importe, je suis enfin arrivé.
Moi : Qu’est ce qui se passe, ici ?*Je tournais la tête vers la personne qui était en train de se faire poursuivre par un monstre* Hey, mais je vous reconnais !
La fille de l’autre jour, qui court : Heu, bonjoOO...*Elle avait glissé sur une peau de banane qui était là*...our.
Moi : Je vais finir par croire que vous faîtes exprès de vous faire attaquer...
La fille : Mais non, j’vous l’jure.
Une sorte de monstre qui s’adresse à la jeune femme : Je te tiens !
Pour éviter qu’il l’attaque, j’allongeais mon bras pour attraper cette fille.Elle n’était pas contente parce que je l’avais tiré par les cheveux (Je ne pense pourtant pas que ça puisse faire mal. [Même si en réalité je n’en sais rien, puisque je suis chauve.])C’était le moment de passer à l’attaque.
Moi *Je m’adresse à la fille* : Restez là, je m’en occupes.
La fille : Mais je veux me battre, moi !
Moi, je ne l’écoute pas : Makankosappo !
La sorte de monstre se prends mon attaque de plein fouet : Gaaah !
La fille : Gaps ! Cestquoiqueça ?
Moi : ...
Le monstre n’avait plus de tête, je craignais qu’il se régénère, mais à la place, il explosa.
Auteur : Pourquoi il y a tout le temps des explosions ? Parce que j’aime bien voir les têtes éclater, le sang gicler et entendre les gens hurler de douleur ! MWAHAHAHA !
Azertyu (La conscience de l’auteur.) : Oh non ! Elle pète encore une durite ! Calmes-toi !
Auteur, avec un air de fou furieux : AHAHAHAHAHA !!
Azertyu : Au grands maux, les grands remèdes ! *Elle sort son jouet (Un marteau en bois qui pèse 80 kilos) et assomme l’auteur*TU VAS TE CALMER, OUI ??? TU VAS TE CALMER ??? ARRÊTES DE JOUER LES SADIQUES !...*réfléchit un peu*Ah, c’est vrai, tu ne joues pas puisque t’es réellement sadique...
Moi : Désespérant...
La fille : C’est sûr...
Donc, le combat s’était terminé.Yes ! J’vais pouvoir aller regarder Midi les Zouzous !
Auteur : Ah mais qui c’est qui a mélangé la personnalité de Goku avec celle de Piccolo ? Personne n’a fouillé dans les dossiers, quand même ? Azertyu !
Azertyu : C’est pas moi, par contre, j’ai vu ta sœur aller sur ta session, pendant que t’étais en train de faire ta corvée de vaisselle.
Auteur : Ah ! J’vais m’la faire cette idiote !
Azertyu : Heu, dans quel sens ?
Auteur : J’ai deux questions : tu as une corde ?
Azertyu : Oui.
Auteur : Et elle est solide ?
Azertyu : Oui, très.
Auteur : Alors va te pendre...Et je vais refaire ce passage.
Donc, le combat s’était terminé.A cause de l’explosion (Personne n’a un synonyme pour le mot explosion ? Ca devient saoulant de se répéter...), on (La fille et moi) a été projetés 15 mètres plus loin.Il a fallu que j’aide la jeune femme à enlever le rocher qui était sur ses jambes.A mon avis, d’autres monstres allaient s’en prendre aux habitants de la Terre.Je me demandais comment on allait faire...En réalité, la solution est devant mes yeux : cette humaine pourrait servir au cas où.
Moi : Comment vous appelez vous ?
La fille : Comment ?
Moi : J’ai dit « Comment vous appelez vous ? »
La fille : Je m’appelle Séréna, et vous, vous êtes Piccolo, je me trompe ?
Moi : En effet...
Séréna : Mais pourquoi me demandez-vous mon prénom ?
Moi : Pour rien...*Je pensait* (Si jamais il y a un gros problème, tu devras entrer dans mon éducation, c’est tout...)
Séréna : Mais, au fait, c’était qui les deux personnes qui vous ont attaqué la dernière fois ? Je sais que l’un d’eux s’appelle Slug (Elle avait entendu comment il se nommait.), mais l’autre, qui était-ce ?
Moi : Il s’appelait Zabon.A présent, je dois partir, au revoir.
Séréna : Adieu.
Dendé, dans son palais : A moi ?
N’ayant plus rien à faire ici, je suis parti en la laissant en plan comme la dernière fois.Cette petite a du potentiel, elle ira loin.
Auteur : Pourquoi j’ai mis Dendé ? Parce que !
Azertyu : Elle a mit Dendé car...
Auteur : T’es pas censée être pendue ?
Azertyu : Ils ont rasé la forêt d’à coté.
Auteur : Ah d’accord...QUOI ?
Piccolo : Ils ont tué mes cousins ces bâtards !
Auteur : Bon, l’histoire risque de partir en -BIP-.Mais bon, c’est déjà fait.
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Moi : Encore raté, je vais devoir utiliser un autre plan pour l’avoir...Un plan plus cruel...
Un de mes serviteurs : Je suis à votre disposition, Maître...
Moi : Fait appel aux autres, personne ne doit se mettre en travers de mon chemin !
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Moi, au milieu de tout les débris, je pense : (Piccolo est vraiment sympathique, j’espère le revoir un jour...)
A suivre... (J’espère que c’est bien et assez long...)
Petit Scarabée, Ecoutes Bien Ce Conseil : Il Ne Faut Jamais Embêter Tata Séréna, Jamais...